Je suis moi-même !

accompagner les personnes HPI ? C’est possible !

J'ai passé une décennie de ma vie à libérer le zèbre qui sommeillait en moi...

Mon parcours personnel de vie est profondément marqué par la découverte de ma « douance » ; on l’appelle auss « haut potentiel », « HPI » ; moi, j’aime parler de mes rayures de zèbrette, bref, ma différence que certains ont tant de mal à nommer. 

En effet, je m’en suis rendue compte il y a une dizaine d’années ; tout le mal-être que je ressentais était probablement lié à cette particularité dans mon fonctionnement. Une part de moi n’avait jamais eu l’occasion d’exister ; cela induit ma personnalité, mes choix, mes préférences, ma façon de parler, de bouger, mon image… Mon environnement m’a plutôt poussée à apprendre à dissimuler les indices transparaissant dans mes comportements. Mais comme toute chose rangée à l’étroit dans un placard, un jour, elle finit toujours par ressortir. 

Les premiers pas pour avancer...

J’ai donc entrepris de me séparer de ce qui ne convenait plus dans ma vie ; tout ce qui me limitait ou m’obligeait à me cacher et libérer enfin cette part de moi qui brûlait de s’exprimer pleinement ; je l’ai laissée être ce qu’elle est vraiment : une pièce importante de mon puzzle personnel. 

Le parours fut long ; parcours personnel de vie, de découverte du milieu du HPI ; tout ce qui l’entoure, les idées reçues, les difficultés rencontrées dès il s’agit de se mêler aux autres. Il y a eu le test WAIS IV  ; il m’a confirmé mon QIT de 144, de Mensa, l’association mondiale officielle et reconnue des HPI.

Jj’ai entendu aussi les avis de ceux qui ne le sont pas et de ceux qui le sont… Mais l’essentiel était ce que je ressentais en tant que personne concernée ; mes souffrances et mes doutes, mes peurs et mes croyances… Souvent les mêmes que les personnes qui me ressemblaient. 

Bref… J’ai « marché le chemin », comme on dit. 

Je me forme pour être coach et aider les gens...

Ce qui caractérise souvent les HPI c’est cette profonde empathie pour ce que vivent les autres. Une empathie qui n’est pas toujours écologique pour nous si on n’a pas appris à la vivre correctement ; c’est à dire, en sachant ne pas se perdre ni s’oublier dans ce que ressentent les autres ; en posant nos limites et en ne  donnant aux autres que ce qui est juste de donner pour nous ; garder le coeur grand ouvert et rester serein. Ëtre en paix avec nous-mêmes, sans nous sentir obligés. 

J’ai donc décidé un jour d’en faire mon métier. Nous étions en plein confinement. En fait, je rêve du métier de coach depuis que j’ai 20 ans. J’avais eu la chance d’être coachée dans mon entreprise et de découvrir la Process Communication de l’intérieur ; j’ai en effet assisté une coach officielle lors d’un séminaire pour les femmes cadres de la SNCF à l’hôtel Royal Barrière de Deauville. Un rêve éveillé. J’aimais tout de ce métier, de cette mission. Mais il m’a fallu tout ce temps pour me donner le droit de suivre mes rêves pleinement ; et j’ai enfin « osé » sauter le pas et me suis mise à mon compte. 

Où je vous parle des débuts de l'indépendance

A travers tous les métiers que j’ai exercés, pour me rassasier, j’ai commencé à coacher des gens. Vous pouvez en savoir plus sur mon parcours riche et totalement atypique en cliquant ici . Car en bonne multi-potentielle reconnue (par moi-même), j’ai choisi de l’incarner et de tester tous les métiers qui me faisaient envie. J’ai passé finalement des certifications de coach de vie, de coaching en neurosciences, de management, d’art thérapie et de pleine conscience ; et j’ai enfin rencontré mon outil fétiche : le design humain ; je m’y forme en permanence, pour aller plus loin. 

Je n’ai pas passé de spécialisations pour accompagner les HPI. Je le vis au quotidien en pleine conscience ; je suis encadrée et guidée par des professionnels depuis plus de 10 ans ; je me documente moi-même depuis tout ce temps également. J’ai donc désormais fait le tour de la question en long, en large et en travers ; je possède mon propre positionnement sur la question. Je suis en confiance avec ; il est issu de mon investigation longue et profonde sur le sujet et surtout de ce que j’ai ressenti. Et il m’a également permis de libérer d’autres HPI ; de leur souffrance et de tout ce qui les limitait alors qu’ils travaillaient dessus depuis un moment déjà avec des professionnels.  

(zoomez si besoin pour lire certains de mes retours clients HPI👇🏻

Mon positionnement pour accompagner les HPI

On entend ou on lit partout des HPI célèbres qui délivrent leur bon conseil sur le sujet. Et je ne ne suis pas fan de ce que je découvre généralement. 

Je constate une bien trop grande banalisation de ce fonctionnement. Du style : 

« HPI ou pas, c’est pareil, on n’a rien de plus ».  

Mon point de vue est tout autre

N’avoir rien de plus induit implicitement qu’on n’a rien de moins, certes, mais surtout rien qui diffère.

Ce type de point de vue invite les autres « zèbres » ou « philocognitifs », s’ils préfèrent ce terme, à penser qu’ils sont comme tout le monde.

Alors, à quoi bon explorer leur différence et penser qu’ils ont quelque chose en plus ? Mais si on était comme tout le monde ça se saurait ! On n’en parlerait même pas. On ne souffrirait même pas. Notre enfance n’aurait pas été une frustration immense. Notre résultat à un test d’intelligence ne dépasserait pas la norme. Il n’y aurait pas des spécialistes en la matière. Ni d’associations qui filtrent les entrées aux seules personnes qui ont validé leur différence à travers un outil homologué. Et j’en passe. 

Chercher à minimiser notre force parce qu'elle fait peur aux autres ou les frustre, c'est encore une fois nier ce que nous sommes 

Donc j’encourage chaque personne HPI à accueillir cette intelligence supérieure à celle de la plupart des personnes. Non pas pour doper son orgueil et se penser supérieur aux autres, non !  Mais simplement pour accepter profondément les besoins qui sont associés à cette vivacité et couleur d’esprit. 

Si on fonctionne comme 2% de la population mondiale, c’est normal de ressentir un décalage quand on s’adresse aux autres et qu’on tente de se lier avec eux. Non pas parce qu’ils sont nuls et nous géniaux… Mais parce que leur fonctionnement entraîne des besoins différents. Ainsi on accepte de ne pas être compris de tout le monde quand on essaie d’être authentique avec plus de facilité. On comprend une fois de plus qu’on a de réels besoins liés à ce QI élevé. Des besoins de complexité, de challenges intellectuels, etc. Mais on ne  s’interdit pas davantage de se connecter à toute personne dont on croise la route ; simplement on en attend pas plus que ce qu’elle peut donner. 

Pour vivre une vie plus heureuse et moins frustrée, moins amère

Et éviter de sombrer dans une colossale dépendance affective comme c’est le cas pour de nombreuses personnes à haut potentiel. Bref, pour adopter un mode de vie en accord avec nos besoins profonds et vitaux et espérer nous rassasier de tout ce qui nous enchante. Nous n’avons pas à tout minimiser, nier, ignorer ou rejeter ce que nous sommes. Nous faisons partie de ce monde ; nous avons donc notre magie à lui apporter. 

Pour vivre une vie plus heureuse et moins frustrée, moins amère

Et éviter de sombrer dans une colossale dépendance affective comme c’est le cas pour de nombreuses personnes à haut potentiel. Bref, pour adopter un mode de vie en accord avec nos besoins profonds et vitaux et espérer nous rassasier de tout ce qui nous enchante. Nous n’avons pas à tout minimiser, nier, ignorer ou rejeter ce que nous sommes. Nous faisons partie de ce monde ; nous avons donc notre magie à lui apporter. 

En parler pour dédramatiser

J’ai souvent entendu dire qu’il ne fallait pas que je parle de ça ; il ne faut pas blesser les autres. Il ne fallait pas que j’aille trop vite… Pour ne pas les frustrer. Que je ne révèle pas mon QI pour ne pas leur faire peur… Mais a-ton pensé au mal que ça pouvait nous faire, à nous ? Devoir passer notre vie à nous faire tout petit ? En arriver à  penser inconsciemment qu’on a quelque chose de dangereux qui peut perturber les autres ? (puisqu’on doit passer notre vie à nous cacher) ? N’aurait-on pas plutôt dû apprendre à être nous-mêmes et parler de nos forces et nos faiblesses en toute sérénité ? Car, comme tous les autres, nous en possédons et cela nous travaille ? 

Parce que oui, finalement, bien sûr que c'est juste

Nous sommes tous des êtres humains, avec nos petits soucis, notre magie, nos hontes,… C’est juste que tout ça ne se situe pas aux mêmes endroits. Et il est primordial d’aller à la découverte de nous-mêmes pour voir où ça se situe en nous ; à quoi ça ressemble, quelle saveur ou quelle odeur ça a. Ensuite nous serons capables d’en tenir compte ; nous nous créerons une vie réussie, riche, écologique et heureuse. Nous sommes nombreux à douter du fait que nous y avons le droit aussi, comme tout le monde. 

J'accompagne les HPI de l'enfance à la maturité...

Et ce dans tous leurs besoins d'équlibre, d'évolution et d'alignement

J’ai traversé cet immense désert ; je me suis libérée de tout ce qui alourdissait mon coeur et mon esprit, mon corps et mon âme, mon énergie et mon chemin, ma vie et mon entourage proche. Il était important que je sois au service de tous les HPI qui se reconnaitraient dans ce que je propose. 

J’ai longtemps réfléchi à comment je pouvais le faire… Allais-je créer un programme ? Ou non… Devais-je me spécialiser ? Ou pas…

J'ai fini par trouver la manière la plus juste pour moi d'aider les personnes à haut potentiel

Je n’ai finalement pas conçu un accompagnement spécifique. Comme pour chaque coaché quelle que soit sa différence, je propose de trouver un équilibre écologique pour elle ; vous allez donc redessiner votre vie de la façon la plus appropriée. Car en réalité nous sommes tous dans le même bain ; ma capacité à offrir un service sur-mesure est l’essentiel que je puisse apporter à ce profil particulier ; j’en connais toutes les souffrances au millimètre près pour les avoir ressenties, vécues et traversées en conscience et connaissance de ce que je vivais. De ce fait, mon approche sera toujours plus efficace et formatrice que la lecture de livres ou statistiques. 

Le HPI est comme tout un chacun

Comme tout être humain, un HPI éprouve le besoin de changement et d’évolution, de profondeur et d’alignement, de connexion et de liens sains et épanouissants, d’amour et de joie… 

A tout moment dans votre vie, fonctionnement atypique ou non, vous avez besoin de mieux vous connaître ; vous voulez faire le point sur votre parcours ; vous avez besoin de vous préparer à une nouvelle étape de votre vie.

Que ce soit pour aller plus loin ou pour viser plus juste

Vous avez un projet professionnel à hautes responsabilités ? Vous voulez intégrer un poste rare et difficile à obtenir ? La création ou l’optimisation de votre projet entrepreneurial vous tient à coeur ? Vous avez besoin d’être accompagné pendant votre divorce ? Vous vivez un changement de vie conséquent, fondez une famille, devenez parent  ? L’éducation de vos enfants vous conerne et vous voulez être le plus juste avec eux ?

Finalement, nous avons tous une vie à vivre en étant le plus heureux possible. Nous sommes toujours de plus en plus nombreux à désirer faire les choses à notre façon  et à notre rythme. Nous avons des rêves d’enfant que nous voulons concrétiser. Car nous avons compris que c’était justement tout, sauf ridicule. Finalement, ce moule, ce modèle standard de réussite n’apporte pas forcément le bonheur attendu, bien au contraire. 

Vous considérer comme tout un chacun

J’ai compris que je n’ai rien de différent à proposer aux HPI. Cela risquerait de vous exclure encore et toujours plus de la norme ; vous-mêmes souffrez trop souvent d’être en dehors de cette norme ; vous aspirez à ressentir que vous êtes comme les autres. Je vous propose donc simplement de vous guider selon vos besoins particuliers et vos problématiques ; vous allez atteindre cet objectif de vivre une vie personnelle et/ou professionnelle plus alignée à votre nature profonde ; vos valeurs si importantes et vitales pour vous vont enfin être entendues et respectées. 

Pour la partie diagnostic et réparation profonde des blessures liées à cette différence, je confie mes clients à des psychologues ; ils sont formés sur le sujet et sont plus indiqués dans cette démarche spécifique. Nous faisons effectivement des métiers différents et complémentaires ; les psychothérapeutes identifient, creusent et réparent ; pour ma part, j’aide à trouver et implémenter une nouvelle façon de vivre  qui corresponde à vos besoins profonds en; pour cela, nous passons à l’action intelligemment et gagnons ainsi du temps. 

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