Je suis moi-même !

je me suis sortie de ma dépression pour de bon !

Il y a quelques années, je sombrais dans la dépression, la vraie. Je me suis battue comme une lionne pour m'en sortir. J'ai traversé toutes les épreuves. Voici ce que je peux transmettre à ceux qui sont concernés :

Il n’y rien de plus flippant que de ressentir ça. 

Un jour, alors que je travaillais encore au lycée, je me préparais pour aller bosser et en prenant mon café j’ai su que ce serait le jour où j’allais sombrer. 

Cela faisait un moment déjà que je luttais et que je savais bien que quelque chose se préparait à l’intérieur. A ce moment-là, je devais être dans le lâché prise et connectée à mon intuition pour détecter que ce serait la journée où je n’allais plus pouvoir l’empêcher. Mais je n’y prêtai pas attention, comme tout ce qui venait de l’intérieur de moi à cette époque. Et 3h plus tard, alors que la pièce dans laquelle j’étais se vida, j’ai la sensation de me désintégrer, de basculer dans le néant. C’était parti. 

Mes collègues avaient beau me réconforter, il a fallu que je rentre chez moi pour me sentir en sécurité. J’étais seule. heureusement mon petit bout était chez son papa. J’ai appelé ma psy pour me réconforter et pris RDV chez le médecin. Mon long combat ne faisait que commencer. 

Cela faisait un moment déjà que je luttais et que je savais bien que quelque chose se préparait à l’intérieur. A ce moment-là, je devais être dans le lâché prise et connectée à mon intuition pour détecter que ce serait la journée où je n’allais plus pouvoir l’empêcher. Mais je n’y prêtai pas attention, comme tout ce qui venait de l’intérieur de moi à cette époque. Et 3h plus tard, alors que la pièce dans laquelle j’étais se vida, j’ai la sensation de me désintégrer, de basculer dans le néant. C’était parti. 

Mes collègues avaient beau me réconforter, il a fallu que je rentre chez moi pour me sentir en sécurité. J’étais seule. heureusement mon petit bout était chez son papa. J’ai appelé ma psy pour me réconforter et pris RDV chez le médecin. Mon long combat ne faisait que commencer. 

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Ça faisait un moment déjà que je consultais ma psy à cause de ma dépression post partum. Je savais bien que je risquais fortement derencontrer cette épreuve, j’avais déjà commencé à me préparer. Mais ce que j’avais préparé aussi, c’était mes investigations pour voir comment en France on traitait la dépression… Et j’avoue que ça m’a fait extrêmement peur ; Des cachets, des cachets et encore des cachets. Surtout ne pas réfléchir. 

Ici, quand tu souffres de dépression, du continues d’être assimilé à un aliéné mental. C’est une maladie mentale, en effet. Mais cette classification ne devrait pas être connotée aussi négativement ! Une maladie mentale est une maladie qui touche le mental ! Pas un truc qui te fait cocher les cases psychopathe. Ainsi, quand le mot dépression a été posé, mon état s’est agravé car je m’identifiais à ceux à qui on pose des camisoles de force. 

J’étais terrorisée. perdue. A tel point qu’il m’a fallu faire le vide autour de moi et m’éloigner de mes amis tant j’avais peur de leur faire du mal. Il e fallait découvrir ce que j’avais et le comprendre pour ne pas être un poids pour eux. Je me sentais très noble de vouloir protéger ainsi mes amis ! 

Sauf que ça n’a pas été du tout accueilli ainsi… Ce qui m’a encore plus désespérée. En effet, ils vivaient mal que je les éloigne et que je ne les autorise pas à les laisser m’aider. A être là pour moi. Mais j’avais trop peur. Trop peur de moi-même. Trop peur de ce que cette maladie que je ne connaissais pas bien et ne maîtrisais pas pouvait me pousser à faire. 

Avec le recul je les ai compris, car je l’ai vécu moi-même. Je sais à quel point ça peut être décevant de s’attacher sincèrement à quelqu’un et de se faire évincer. Mais à ce moment-là je n’aurais pas pu faire autrement. Leur affection trop présente était un poids. Justement car si j’étais malade c’était précisément car j’étais incapable de recevoir de l’amour sans me sentir redevable (entre autre). Et comme eux n’avaient jamais vécu ce que je traversais dans leur corps, il était impossible qu’ils le comprennent et quand bien même ; même si on l’a vécu et qu’on l’a dépassé, c’est très difficile de se souvenir de ça et de comprendre de se faire mettre à l’écart par quelqu’un qui a besoin de soutien. 

Et ma famille était loin pour me soutenir. Si loin… Tout le monde ne le vivait pas bien d’ailleurs, certains membres m’ont enfoncée encore davantage par leur manque de compassion et de compréhension du problème. D’autres, ma dream team, comme je l’appelle, m’a soutenue de la meilleure des manières. Heureusement qu’ils étaient là. 

Heureusement aussi que j’ai vu les gens essayer de m’aider. Car même si je ne les laissais pas faire (c’est aussi une des choses qui fait que j’étais en dépression : je ne voulais pas qu’on m’aide), j’avais vu leur soutien, leur amour, leur compassion. Mais je n’y arrivais pas. Tout se mélangeais dans ma tête et là où moi je cherchais du soutien sans failles, je trouvais plutôt des états d’esprits déprimants qui m’enfermaient dans des connaissances incomplètes du sujet, comme le veut la médecine allopathique, qui ne fait pas de lien holistique. 

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A force de constater qu’autour de moi rien n’était fait pour m’aider à aller mieux ni à guérir pour de vrai, un jour, j’ai pété les plombs et j’ai décidé de prendre les rênes de ma guérison ; ça serait moi et moi seule qui déciderait de ce qui serait bon pour moi pour me guérir. Personne d’autre. Les médecins et praticiens ne serait dans l’histoire que mes assistants car personne mieux que moi savait ce qui m’aiderait vraiment. 

C’est ainsi que je me reconnectai à ma guidance intérieure. 

J’ai choisi de guérir un maximum via la thérapie, comme le voulaient mes convictions à propos des méthodes naturelles. Il n’y avait pas de raisons pour que je n’ai pas la solution à l’intérieur de moi après tout ! J’avais le mal, je devais avoir le remède ! Mais je m’étais autorisée à faire appel à l’allopathie si jamais ça allait trop loin ou si ça dépassait mon contrôle. 

J’en ai eu besoin 3 fois durant mon long parcours de guérison. Mais ce n’était pas à cause d’une perte de contrôle. Seulement une immense fatigue. Déjà la souffrance émotionnelle m’épuisait. Quand on souffre émotionnellement ça se ressent aussi dans le corps. Je dormais beaucoup, tout en culpabilisant d’offrir à mon fils une maman qui dort tout le temps. Alors dès que j’étais éveillée je me donnais à fond pour lui. On faisait plein de choses. Et au travail je me donnais beaucoup. Et puis je m’employais à dissimuler ma maladie un maximum, à donner le change à tout le monde… J’overthinkais à chaque fois que je vivais une intéraction un peu inhabituelle… Alors un jour, je me suis dit que je n’aurais rien contre un petit remontant pour m’aider à tenir le coup de cette vie épuisante. 

Néanmoins je ne voulais pas sombrer dans les toxiques. Je voyais énormément de dépressifs tomber là dedans en se faisant croire qu’ils ont raison car ainsi ils évitent les médicaments qui ne sont pas bons. Alors certes, j’avais choisi de ne pas me gaver d’anxiolytiques ou d’anti-dépresseurs, mais dans ma tête c’était très clair : le shit, la beuh, l’alcool ou pire, des drogues dures étaient bien loin d’être mieux ! Donc j’ai choisi d’aller voir mon médecin pour lui demander son avis. 

La personne qui m’a reçue a été très coopérative. Je lui avais dit que ça me faisait peur et que je ne voulais pas devenir dépendante d’un traitement ni étouffer ce que je ressens. je voulais juste moins souffrir. Alors elle m’a conseillé d’éviter totalement les anxiolytiques qui provoquaient une accoutumance physique. Mais de considérer les anti-dépresseurs qui avaient pour but d’agir sur la sérotonine, ce neurotransmetteur qui régule l’humeur dont je manquais tant. Entre autre. Car ces médicaments ne sont pas des euphorisants ; ils ne donne aucun résultat sur les patients qui ne souffrent pas de dépression. Donc dans mon cas ils seraient la béquille que je recherchais et qui m’aiderait à réapprendre à marcher (comprendre dans mon cas = à vivre). 

J’acceptai avec un protocole anti-accoutumance pré-établi : Je prendrai ces cachets 6 mois et réduirai la dose méthodiquement jusqu’à ne plus en prendre du tout et m’en détacher. En plus elle m’avait choisi la version la plus légère et avec le moins d’effets secondaires. Le top. 

Et en effet, quel soulagement ; je me sentis enfin bien de nouveau après des mois et des mois de souffrance continue. Je pouvais retrouver l’espoir qu’une autre vie, plus douce, m’attendait et aussi la force de continuer d’aller la chercher sans relâche. 

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Ce qu’il y a de très difficile dans la dépression, c’est cette explosion émotionnelle qui vient des profondeurs de notre être. Des émotions apparues il y a très longtemps mais qu’on n’a pas vécu. Qu’on a enfouies. Au plus profond. 

Ça fait tellement mal qu’en fait je comprends qu’un dépressif puisse chercher à en finir. Je comprends, je ne cautionne pas. 

Je me suis retrouvée souvent avec, à l’instar d’une rage de dent, une explosion émotionnelle subite dont je ne savais que faire. Ne pouvant hurler à la mort (car sincèrement c’est ce qu’on aimerait bien faire quand ça arrive), il me fallu trouver une autre stratégie. 

Je me mettais dans mon lit, au chaud, en sécurité et consacrais le moment à laisser ma souffrance me traverser. Si j’avais besoin, je pouvais crier dans mon oreiller (on peut hurler sans son aussi). Je pouvais taper du poing. Agiter mes jambes, mon corps. Tout ce qu’il fallait pour faire circuler l’émotion jusqu’à ce qu’elle décide de partir. Dans ces moments, j’adoptais la technique de la méditation : observer ce qui est à l’intérieur de moi, mes pensées, mes sensations, etc. Sans juger ni tenter de faire quoi que ce soit. Et ça partait. Toujours. Plus j’étais dans le lâcher prise, plus ça partait vite. 

Je me sentais ultra fière de moi en ayant trouvé ma technique. Je n’avais pas peur car je savais que je me mettais en sécurité et que j’acceptais le moment difficile pour en connaître un meilleur et plus doux après. Je savais que ça passerait toujours car je savais que les émotions ne faisaient que passer. Que c’est notre mental qui les font rester et s’accrocher. 

Il me fallait aussi faire du sport car c’est ainsi que l’on active la sérotonine. Mais je ne me suis jamais forcée quand je n’en avais pas envie. Je n’ai jamais pensé que le fait de me forcer était une bonne chose. Me booster, me donner un coup de pieds aux fesses quand j’ai un coup de flemme, oui ! Mais me forcer, non. C’est de la maltraitance et j’en avais eu déjà ma dose ! 

Mon traitement s’est donc résumé à 

– de la psychothérapie, puis de l’accompagnement (Reiki, coaching, énergétique, etc), car au bout d’un moment la psychothérapie m’enfermait plus dans mon mental qu’autre chose alors que je ressentais le besoin de réinvestir mon corps. C’est ce que m’ont apporté le reiki/ l’énergétique et le coaching. 

– Des médicaments ponctuellement quand j’étais épuisée et que j’avais souffert un peu trop longtemps sans trouver de solutions. 

– De la méditation

– De l’écoute de soi

– Du respect de mes limites et de mes possibilités

– De l’acceptation

– De la patience

– De l’auto-compassion et de l’amour de soi

– Accepter de ne m’entourer que des personnes avec qui je me sentais en confiance et de décevoir les autres

– Du plaisir. Beaucoup, beaucoup beauuuuucoup de plaisir ! Et je t’expliquerai pourquoi en détail à la fin. 

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Au sujet de mon « travail psychologique », ou plutôt de la reconnexion à moi, ça s’est fait en plusieurs étapes importantes. Car si la dépression a fait s’écrouler la construction de mon identité et de ma réalité d’un coup, c’était bien parce que j’avais loupé un truc au passage. Un élément clé. Un pilier qui a fait que ma vie s’est effondrée. 

– J’ai donc d’abord appris à accepter qui j’étais à ce moment-là. A regarder les choses telles qu’elles sont sans les juger. Sortir de mes illusions, des manipulations dans lesquelles j’avais été harponnée. Retrouver la réalité. Apprendre la réalité, même. Car on ne sait pas bien ce que ça veut dire finalement. 

– J’ai appris à me reconsidérer. D’abord au sein du cabinet de la psy, avec ce que j’avais dans ma vie à ce moment-là. Ensuite grâce au coaching. Auto et reçu. Et ce que je suis allée chercher et mettre en place. J’ai reboosté mon estime et ma confiance. 

– La découverte de la précocité de mon fils… Et du coup de la mienne. Et c’est ça qui a fait toute la différence. Car cette pièce du puzzle me manquait cruellement pour me construire solidement. J’ai d’abord lu les ouvrages qui décrivaient parfaitement le vécu des HPI. Le vécu de souffrance, de rejets, d’incompréhensions. Je pleurais à chaque page. Je retrouvais cette personne qui avait tant souffert et ravalé ses émotions et je pouvais enfin les libérer et j’ai emmené des tas de HPI avec moi. Cette libération a duré 8 ans avant que je ne ressente le besoin de faire le test. J’ai donc passé le WAIS IV en octobre 2022 qui m’a annoncé un QIT de 144. J’ai ressenti une immense libération ce jour-là, même si je le savais déjà, je m’étais reconnue. Mais la confirmation fait un tout autre effet. Je me suis dit instantanément que je ne pouvais plus me croire stupide de toute ma vie. C’était terminé. j’étais définitivement libérée de ce doute immense qui a vampirisé mon énergie durant 40 ans. 

– A mesure que je reconstruisais mon identité, je faisais des choix qui me rendaient heureuse. Car le plaisir est la base de mon accomplissement. Je le ressentais tout au long de mon parcours et me suis employée aussi à changer mon regard sur les choses. Je regardais tout de manière négative. Comme si tout était dûr. Je ne pouvais donc pas ressentir le moindre plaisir en voyant les choses ainsi ! J’ai donc appris que le plaisir se trouvait dans toute chose et qu’il fallait apprendre à le détecter, à le regarder. Je me suis alors ouverte à lui complètement. Et j’ai bien fait. Car depuis que je travaille avec le Design humain en plus, j’ai compris qu’en tant que générateur, j’ai besoin de ressentir du plaisir et c’est ainsi que mon énergie circule le mieux et bâtit de bonnes choses pour moi et pour les autres qui ont besoin de ressentir le plaisir que je diffuse. Quand je suis dans mon plaisir, tout devient plus facile non seulement. Je suis magnétique, j’attire du bon, je crée du bon, je vis du bon et je m’éloigne ainsi toujours plus de la dépression ! 

– Je reviens également sur l’importance de l’acceptation dans mon processus de guérison. Si on n’accepte pas ce qui est au millimètre près, il ne peut y avoir de guérison. J’ai donc dû accepter mon ombre dans toute sa profondeur sans avoir peur ni en cessant de m’estimer pour autant. Et c’est sacrément difficile à faire, crois-moi ! A mesure que j’acceptais les parts peu glorieuses et visqueuses de mon être, j’apprenais à m’aimer d’une autre façon : de manière inconditionnelle (sans condition). L’acceptation est la clé. L’amour est le carburant. Car j’ai appris ainsi à me séparer de toute forme d’amour conditionnel néfaste et enfermant. 

– Et la patience et la persévérance. Car ma guérison m’a pris beaucoup de temps. Je suis allée guérir absolument toutes les parts de moi, pour être sure de ne pas recroiser la dépression dans un autre coin sombre un jour. Alors du jour où elle s’est déclarée jusqu’à la fin totale de ma réparation émotionnelle complète, il se sera passé 7 à 8 ans. Et c’est une sacrée performance sachant que certains ne guérissent jamais, partiellement ou mettent énormément plus de temps. Il est donc important de booster les qualités qui te permettront de ne pas désespérer.  

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Voilà donc comment non seulement je me suis guérit de ma dépression en cherchant ce qui m’y avait plonger et en le bannissant de ma vie définitivement ou en le repensant. 

Car quand on effectue un tel travail là où la médecine nous endort encore à coup de médocs, il serait totalement inconscient (pour ne pas dire stupide) de retourner vers ce qui nous a rendu malade ! 

De l’importance de prendre le temps de le déterminer. De comprendre profondément ce qu’il s’est joué à ce moment-là et de surveiller activement où on met les pieds, de bannir des endroits. Et donc d’apprendre à dire non. 

Mon QI de 144 ne doit pas te faire dire que tu n’y arriveras pas toi aussi. J’entends souvent que moi j’y suis arrivée parce que… Mais on ne doit pas prendre mon parcours comme ça ! Oui j’y suis arrivée en me drivant seule car j’ai une capacité hors du commun à réfléchir et à faire des liens. Mais rien qu’en lisant mon article tu viens d’acquérir un mode d’emploi de ton parcours de guérison à toi que tu teinteras de tes couleurs à toi ! 

Les seules choses que tu dois acquérir c’est l’acceptation totale de ton état et du parcours de guérison qui te demandera de l’investissement et t’y engager pleinement. Car ça en vaut la peine ! 

Ce que j’ai gagné aujourd’hui ce sont certes des kilos en trop car je ne me suis pas forcée à faire du sport ni à manger light (plaisir oblige !), mais surtout j’ai réalisé des rêves, amélioré ma vie et tout reconstruit d’une manière qui me convient parfaitement ! Je n’ai pas cessé d’avoir des difficultés mais j’ai une force hors du commun et des buts, des objectifs qui me donnent envie de tout dépasser et de tout réussir. Je transmets de l’or à mon fils. J’apprécie chaque moment. Aujourd’hui ma sérotonine ne me quitte plus ! Et je suis fière de moi. je sais en plus qui est « moi ». Qui je suis profondément. Ce que je fais là. Tout a du sens. 

Alors accroche-toi. Mes toi en chemin vers ton accomplissement à toi. Accepte de lâcher définitivement une réalité qui t’a rendu.e malade pour aller vers un quotidien qui te fera à chaque instant le plus grand bien ! 

Et viens me consulter si tu as besoin que je t’aide à y arriver ! Je suis devenue professionnelle pour aider ceux qui ont souffert comme moi à passer du bon côté, celui du bonheur et de la joie. 

christine Hanot je suis moi-meme

Avec toute ma force, ma compassion et mon soutien. 

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